Foot à 7


dernier rdv

coupe
le 14/06/25 à 11h
Paris (75)
Red Bull Leibniz 5-3 Les Minots

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Lucas  (05/04/20 - 12:38)

Putain les gars, je savais que les minots était une équipe d'esthètes mais pas à ce point! Bravo, franchement, j'ai pris du plaisir à lire vos textes! En revanche, je crois que Roberto Baggio a joué contre la France en 98... J'ai encore ce souvenir d'une reprise de volée que Barthez arrête in extremis... Pour moi, la palme de la fourberie va quand même à Suarez, faire cet arrêt à ce moment là du match, même si c'est frustrant de voir le Ghana sortir comme ça, ça a quelque-chose de délicieusement enfantin, c'est un geste de cour de récré... C'est beau (Bon je dis ça mais j'étais quand même dégouté en le voyant). Moi aussi je commence à avoir des fourmis dans les pieds... Ciao Minots!

Stef  (05/04/20 - 07:58)

Des fois je me dis que si j’avais autant de culture g ou de formules mathématiques qu’il n’y a de foot dans ma tete, je serai un des plus grands chercheurs. On aurait peut etre deja le vaccin !

tom g  (05/04/20 - 00:25)

je me souviens de ce penalty, mon père prétendant que Baggio avait fait exprès de viser la main...

Stef  (04/04/20 - 22:44)

hello Minots ! Je vois que je ne suis pas le seul à qui le foot manque plus que tout autre chose (alcool, drogue, sexe,...) Non ! Le foot est au dessus de tout ca. Vous parliez de Seville 1982, je suis tellement en manque que j'ai téléchargé plein de match historique dont celui ci ! Et bien le foot de 1982 c'est autre chose ! Autant sur le plan tequenik rien à redire autant sur le plan taquetik mon dieuuu que c'était bordel. En fait c'était très vite les arrêts de jeu ! Je suis de fin d'année 1987. Mon grand frère est de 1983, il a connu l'OM, pleuré en 1991 en CE1 racontant à sa maîtresse le match de Bari. Il a connu Munich et la gloire en 1993. Moi non, je dormais surement à poing fermé, ou alors ca ne m'a pas marqué. Car pourtant mon tout premier souvenir de foot (et en y repensant je dirais même que c'est mon tout premier souvenir) c'est quelques semaines avant Munich, au parc des Princes, Kombouaré aka Casque d'or ! Je me souviens pas du match mais des hurlements de mon père et de mon frère. J'ai revu ce match depuis, incroyable, j'aurai aimé vivre ce genre de scénario aujourd'hui ! Second souvenir marquant, Été 1994, vacances à Fond Romeu. Finale de coupe du monde sur écran géant dans le VVF des PTT. Ce soir là je découvre deux trucs, je suis Italien, et mon papa pleure. Bizarrement je me souviens aussi du Suedois Tomas Brolin, mais je pense que c'est un souvenir de l'album Panini. A noël je reçois le maillot de foot Seat Tourtel et l'équipement du Milan AC (j'adorais Ginola et Maldini, ca m'est resté). L'année suivante premier match au stade, le PSG reçoit le FC Nantes de Coco, Loko, Nico, Reynald, Japhet, Mak'mak, putain grosse team grosse déroute et un souvenir du match, la pichenette de Ouedec sur le meilleur gardien de tout les temps (0-3). J'ai encore l'écharpe. Après bien sur beaucoup plus de souvenir. Cannavaro (je l'adore) n'a rien inventé. Finale 1996 contre le Rapid de Vienne, Raï se fait boiter dans les dix premières minutes et sort pour Dely Valdes. Qu'importe, We are the Champions. Ce qui est triste malgré tout, c'est que c'est l’équipe du PSG de l'année précédente qui aurait mérité de soulever une coupe, et pas la Coupe des Coupes. Année suivante, le poteau de Loko dans les dernières minutes. Le triplé de Raï en barrage de LdC contre Bucarest après un match aller tapis vert 3-0 à cause de Fournier suspendu mais titulaire. Ensuite je me souviens avoir adoré Monaco et leur milieu Écossais Collins. Avec Benarbia et Anderson en attaque c'était fort. Le retour au premier plan du Milan AC de Zaccheroni avec Bierhoff et Weah en attaque, Costacurta N'Gotty, Maldini en défense, Albertini, Léonardo, Boban meneur et surtout, l'intenable Ibou Ba ! Le Parme de 1999. Bon...je pourrai encore m'éterniser sur les années 2000, la coupe du monde 1998. Une anecdote, un collègue m'a récemment pris pour un taré lorsqu'il m'apprend que le seul match qu'il a vu au stade était Italie Chili Coupe du monde 1998. Je lui réponds "Aaaah oui, 2-1, une histoire de penalty" ! D'ailleurs cette coupe du monde, je ne comprends toujours pas comment se passer de Roberto Baggio, enfin tant mieux pour la France. En 2006, j'étais mitigé, je voulais que l'Italie et Zidane gagne. Je n'avais jamais vu l'Italie gagner, et cela récompensait une des plus belles générations du foot Italien, sans Maldini, mais avec Nesta Cannavaro Pirlo Gatusso Buffon DelPiero Totti Inzaghi Lippi. Dans tout ca, si je devais retenir Un but : ca serait celui de Bergkamp (il est inexplicable donc dermerdez vous avec Youtube). Un arrêt : Buffon vs Zidane Un match : hum...difficile ! Zidane vs Brésil en 2006, sur le terrain Kaka Ronnie Ronaldo Adriano et.... Zidane merci au revoir voilà ce que c'est que du foot et j'ai 34 ans papi ! Plus récent mais j'ai pris un pied d'enfer devant Réal Ajax l'an dernier. Cet Ajax aurait du la gagner ! Une fourberie : J'aimais beaucoup Gattuso. Ce n'est pas vraiment une fourberie mais je me souviens d'une action d'un match Barca Milan en Ligue des Champions ou Ronnie et arrêté balle au pied devant Gattuso qui se tient sur ses appuis, les yeux à trente centimètres du ballon avec une main au sol, près à bondir. Le Barca gagnera la LdC ;) Avec un pote on est dans un délire ou à chaque démission d'un entraîneur on se propose d'envoyer un CV ! Il y a quelques temps je lui disait, j'ai 32 ans, le foot c'est mort, mais arbitre maintenant ! Si ca se trouve à 40 ans tu arbitres en Ligue des Champions !!! J'aime le foot, vite un vaccin bon sang !

Head war  (02/04/20 - 16:50)

Je vous ennuie un peu avec ce texte d'Eduardo Galeano, traduit par mes soins. J'ai que deux livres qui parlent de foot à la maison, dont celui-ci, dans lequel je me suis exercé à comprendre l'espagnol. Je vous bassinerai bientôt avec le second. Thomas

Le football métis  (02/04/20 - 16:46)

L’Argentine Football Association ne permettait pas que l’on parle espagnol lors de ses réunions, et l’Uruguay Association Football League interdisait que les matchs se jouent le dimanche, parce que la tradition anglaise commandait de jouer le samedi. Mais déjà, dans les premières années du siècle, le football commençait à se populariser et à se nationaliser sur les rives du rio de la Plata. Ce jeu importé, qui occupait le temps libre des enfants bien nés, s’était échappé de son bac à géranium, était descendu sur terre et prenait racines. Ce fut un processus imparable. Comme le tango, le football venait des banlieues. C’était un sport qui n’exigeait pas d’argent et qui pouvait se jouer selon l’envie. Dans les terrains vagues, dans les ruelles et sur les plages, les garçons métis et les jeunes immigrants improvisaient des matchs avec des ballons en boîte de sardines ou des vieilles chaussettes remplies de chiffons et de papiers, un duo de pierres pour imiter le but. Grâce au langage du football, qui commençait à devenir universel, les travailleurs venus des campagnes et ceux venus d’Europe s’entendaient d’autant mieux. L’esperanto du ballon unissait les natifs pauvres et les paysans qui avaient traversé l’océan depuis Vigo, Lisbonne, Naples, Beyrouth ou la Bessarabie et qui rêvaient de devenir l’oncle d’Amérique en érigeant des murs, en chargeant des bennes, en enfournant du pain ou en pavant des rues. Beau voyage qu’avait fait le football : un voyage organisé depuis les collèges et les universités anglaises et qui en Amérique du Sud égayait la vie de gens qui ne s’étaient jamais assis dans une salle de classe. Sur les terrains de Buenos Aires et de Montevideo naissait un style. Une manière propre de jouer au football apparaissait tandis qu’une manière propre de danser s’affirmait dans les cours des milongas. Les danseurs dessinaient des architectures fines s’épanouissant dans l’espace d’un carreau, et les footballeurs inventaient leur langage sur une étendue minuscule où le ballon n’était plus frappé mais retenu et conservé comme si les pieds étaient des mains tressant du cuir. Et dans les pieds des premiers virtuoses métis, naquit le toque : le ballon caressait comme s’il était une guitare, une source de musique. Simultanément, le football se tropicalisait en descendant vers Rio de Janeiro et San Paulo. C’étaient les pauvres qui l’enrichissaient en même temps qui l’expropriaient. Ce sport étranger se faisait brésilien à mesure qu’il cessait d’être le privilège d’une poignée de privilégiés, qui y jouaient par imitation, et qu’il fut fécondé par l’énergie créatrice du peuple qui le découvrait. Et ainsi naissait le football le plus beau du monde, fait de déhanchés, d’ondulations du corps et de jambes envolées qui venaient de la capoeira, la danse guerrière des esclaves noirs, et des joyeuses salles de bals des faubourgs. Le football devenait une passion populaire en dévoilant sa beauté secrète et se disqualifiait alors comme passe-temps distingué. En 1915 la démocratisation du football arrachait des plaintes à la revue Sports, de Rio de Janeiro : « Ceux qui ont un rang dans cette société sont obligés de jouer avec un ouvrier, avec un chauffeur… La pratique de ce sport est en train de se convertir en un supplice, un sacrifice, ce n’est plus un amusement. » Eduardo Galeano, Football, Ombre et lumière, 1995

Pape tousse   (01/04/20 - 13:23)

Je rebondis sur Thomas, enfin sur ce qu'il écrit comprenez-moi. En effet le souvenir du France-RFA de Séville que je n'ai pas vu, pas vécu... L'attentat sur Battiston vu à travers les VHS dont on usait la bande à force de se les repasser et raconté par les grands frères, les cousins. À force d'en tendre parler, j'ai l'impression de sentir cette nuit de Séville, nuit d'été étouffante. Ce souvenir, il venait se superposer avec l'Histoire, les récits des anciens qui parlaient de la guerre. Mon père avait 16 ans en 1942. Il prétendait avoir fait du maquis. Il disait qu'il avait essayé de braquer la banque de Villeneuve sur lot. Est-ce vrai ? Mon père entretenait sa propre légende qu'il aimait raconter sur le mode picaresque, comme l'odyssée d'un raté. Je crois qu'on se souvient pour ça de Schumacher. On disait "salaud d'allemand" en supposant que son géniteur avait dû faire partie de la gestapo et qu'il avait vengé la défaite en emportant comme butin de guerre la mâchoire de Battiston. Cannavaro quand il frappe Henry je ne m'en souvenais plus mais maintenant cela me revient. Toute la saloperie de ce geste destiné d'entrée de jeu à mettre KO le meilleur joueur valide de l'équipe car bien sûr le chef était zidane mais il jouait déjà avec une jambe de bois, et même comme ça il aurait marché sur les légions romaines s'il n'avait pas bêtement voulu réhabiliter l'honneur de sa soeur. Les grands hommes sont immatures comme des bambins qui jouent dans la cour de récré. J'étais au PSG-OM de Novembre 1992. Le premier match de foot vu au stade, le pire aussi. Je me souviens du but de Boksic et surtout d'un match de lutte gréco-romaine que l'OM finit à 11 alors que la moitié de l'équipe aurait pu être expulsée. Di Meco voulait encadrer les chevilles de Ginola dans son salon. On aurait dit un safari. Tapie était le prince de la saloperie. Je détestais cette équipe. Jamais pu supporter Barthez parce qu'il en avait fait partie. Le geste le plus incroyable dont je me souvienne c'est celui de suarez qui arrête le ballon de la main en 2010 Et derrière Gyan qui rate le penalty à la dernière seconde, l'uruguay qui se qualifie. C'est une pure tricherie. C'est légal mais parfaitement injuste. Le droit n'est pas la justice.

En l'absence de titre  (31/03/20 - 20:07)

J'écris vite un message par dessus celui de Kingsley Coma car il a quelque chose de définitif et c'est oublier la devise implicite de cette équipe, son talisman caché qui sans le connaître ne pourrait expliquer sa durée : il n'y aura pas de dernier message car il n'y aura pas de dernier match. ENDLESS LOVE. Sur ce, je réponds à Parlons Foot, et je donne le titre de mon message qui n'entre pas le cadre : Des Souvenirs de finales perdues. Je n'ai que très peu de souvenirs impersonnels, des souvenirs incorporés à force d'entendre le récit de matchs que je n'ai pas vus, je me souviens peut-être, par pure réminiscence, du Marseille de Tapie ou de la demi-finale à Séville, contre la RFA, mais c'est tout. Je ne suis pas versé dans l'Histoire du football et c'est en tant que sujet participant que les matchs s'impriment en moi. Participant et au présent, je ne regarde pas de matchs anciens, le foot c'est du temps qui passe. Donc voici deux souvenirs de finales perdues où des agression m'ont traumatisé. La première, c'est celle de Cannavaro, à qui on a remis le Ballon d'or pour ce geste, lorsqu'il a assommé Thierry Henry au bout de 39 secondes de jeu lors de la finale de la coupe du monde 2006. Henry est resté quelques secondes au sol après avoir perdu conscience, Cannavaro était venu lui mettre son épaule dans la tempe, par derrière, par surprise. Après cela Zidane ouvre le score d'une panenka qui ne fait pas trembler les filets, symboliquement ce n'était qu'un demi but, l'inverse d'une gamelle, une balle qui ressort sans taper le fond. C'est mon pire souvenir de football, l'autre étant la troisième ligue des champions d'affilée remportée par le Real Madrid du même Zidane, en chaussures de ville. C'est déjà dur de savoir que le club du roi plutôt franquiste en gagne trois de suite mais sur une telle clé de bras faite à Mohamed Salah, c'est encore pire, par le fils spirituel de Cannavaro : Sergio Ramos. J'imagine que les personnes qui pensent que le football comme la politique se résument à bien gérer une crise rêvent de lui donner le Ballon d'or. Oui je sais, rien ne me rapproche d'Henry ni de Salah, personne ne comprend pourquoi je n'admire pas Ramos et Cannavaro, au moins Raph est cohérent quand il aime Bernard Lama, mais je ne suis défenseur que parce que je ne sais pas dribbler et le soir je crève l'oreiller à me rêver meilleur. Si je pouvais revivre je demanderais un bon contrôle et des appuis de sauterelle. Je suis un sacrifié. Mais je viens encore pour voir TomG sobre et pour tout ce qu'a raconté Raph. Bisous l'équipe, Thomas

Kingsley Coma  (30/03/20 - 18:23)

J'espère, amis minots que vous vous portez tous bien en ces temps étranges et troublés. Hier mon oncle est mort du virus. Il avait 88 ans mais il se portait comme un charme, faisait du tennis et du bateau. Je suis dans l'Yonne, confiné avec ma mère, Natalia et Thelma... Je ne vous imposerai pas mon journal de confinement, je vous conseille plutôt celui de Guy Roux qui doit contenir quelques conseils de jardinage intéressants (comment désherber sans se ruiner), des anecdotes sur Christophe Cocard et des recommandations quant à l'économie du foyer. Ma foi un sou est un sou et relativement à la crise économique qui se prépare, il s'agit de commencer à se tricoter un bas de laine. D'ailleurs, je vous enjoins à acheter des paires de crampons dès maintenant pour la saison prochaine en cas de pénurie. La denrée se négociera peut-être avec bénéfices au marché noir. Je ne sais trop que vous dire, au demeurant je manque d'inspiration. Godard disait que nous vivons une époque belle et triste. On aimerait davantage rire des choses. Rire de Macron qui ressemble à Tintin quand il s'exprime avec son air grave et martial, rire d'Edouard Philippe dont on ne sait pas dire s'il est plus proche physiquement de Milou ou du capitaine Haddock... Mais le coeur n'y est plus vraiment. On doit se réjouir peut-être de vivre une apocalypse car comme le dit Bruno Latour, le philosophe préféré de Thomas Blond, l'apocalypse est une renaissance. Qui peut dire pourquoi les châteaux de l'enfance sont encore debout ? ... Dans tout ce marasme j'ai découvert un site internet magnifique qui archive des matchs de football entiers depuis la coupe du monde 1958. J'ai tapé Bernard Lama dans le moteur de recherche et cette véritable encyclopédie digne de l'esprit de D'Alembert m'a sorti 5 pages de vidéos des matchs de mon mentor depuis sa période Brestoise jusqu'à la fin de sa glorieuse carrière. Malheureusement je n'ai pas beaucoup le temps d'exploiter cette manne puisque la crèche est fermée. Sinon il va sans dire que j'aurais planté là tous mes projets pour m'adonner à ce passe temps magnifique. Ma mère me fait un peu de fasciathérapie mais l'état de mon poignet ne s'améliore que lentement. Je rêve de jouer sans douleur, de rouler bouler dans le gazon, de me jeter les bras en croix dans la boue ou sur l'herbe rêche. On mesure l'importance du football dans les circonstances que nous vivons. L'importance du corps qui se meut librement autour et avec le ballon, qui serpente, qui caresse, qui esquive, le corps qui cogne, le coeur qui bat fort dans la poitrine, les ciels qui changent, les climats. L'hiver les matchs ont des odeurs de cendres, de sous-bois, ou le long du périphe de gasoil, c'est selon. L'été c'est la touffeur brûlante qui émane des champs de blé ici à Saint-Julien, ou c'est le parfum âcre des billes noires qui se disperse dans l'air, racle la gorge à Choisy nord. Le goal a le privilège de la rêverie. Parfois dans le match, il se laisse partir, sous le ciel mauve, crevé sans étoile ou l'après-midi sous les nuages de l'île de France qui ont mille nuances de gris comme des perles. Les nuages de l'île de France ne sont pas pareil que les autres, je ne sais pas si vous l'avez déjà remarqué ? Je vous aime tous bien. La petite pointe de stress d'avant les matchs me manque autant que la bière sur le parking de Créteil Pompadour, qui s'est faite plus rare il est vrai depuis que Miguel a arrêté le snowboard. Au fait Clément, la liste "Du soleil pour Créteil" a-t-elle rencontré le suffrage espéré ? Ici, j'ai croisé le fer avec le maire sur facebook (on est de son temps ou pas) parce qu'il a fermé le petit marché dominical. L'intermarché est semble-t-il moins propice à la propagation du virus pour une raison que j'ignore. Demain c'est sûr, il nous faudra être des footballeurs résistants. D'ici là, restons vivants et debout dans la mesure du possible. Ma fille m'appelle, je dois y aller, je vous embrasse. Raphaël

Parlons Foot  (27/03/20 - 14:12)

Bonjour, pour ceux qui suivent l After foot vous savez qu en ce moment ils ont lancé le hashtag #MonAfter pour que les auditeurs proposent leurs sujets, thématiques à aborder lors des émissions. Moi j'ai une question pour vous, quels actes de fourberies, sournoiserie voir agressions footballistique vous ont le plus marqués : Exemple les jeux de mains, jeux de vilains de Maradona, Thierry Henry et Suarez ...

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